TORONTO, LE 27 AOÛT 2018 – La rentrée des classes approchant à grands pas, le moment est propice pour se renseigner sur le code et les règles de civilité au volant, surtout lorsqu’on sait que, cette année, les rues de Toronto ont été particulièrement meurtrières.
En 2017, 36 piétons, 13 conducteurs et quatre cyclistes ont perdu la vie dans un accident impliquant un véhicule motorisé[1]. Or, l’année 2018 s’annonce tout aussi sinistre et l’on déplore déjà la mort de 20 piétons et d’un cycliste à ce jour. Le problème s’explique en partie par l’absence d’éducation sur les règles de sécurité et la signalisation routière.
Un sondage commandé par la RSA du Canada, l’une des plus importantes sociétés d’assurances biens et accidents au Canada, révèle que 50 % des piétons ne savent pas nécessairement quand les cyclistes ont priorité de passage, et 33 % des cyclistes ont déclaré avoir remarqué récemment un panneau de signalisation dont la signification leur est inconnue.
De toute évidence, il faut sensibiliser davantage les usagers de la route, ce avec quoi ils semblent eux-mêmes d’accord. Le même sondage a en effet révélé que 57 % des cyclistes et 44 % des piétons désirent que les municipalités investissent dans l’éducation routière[2]. En fait, tout le monde gagne à ce que l’éducation routière soit mieux financée pour que nos routes soient véritablement sûres. Cela est d’autant plus vrai que nos rues seront encore plus fréquentées par les élèves après la rentrée des classes dans les prochaines semaines.
C’est pourquoi, compte tenu de l’objectif visant à changer les mentalités et à encourager tout le monde à assumer sa part de responsabilité pour garder les routes sûres, la plateforme de la trêve routière contient une foule d’outils, de ressources et de conseils sur la sécurité routière – qui proposent des règles et principes auxquels tous les usagers de la route peuvent adhérer et que ceux-ci peuvent intégrer dans leur vie quotidienne. Parmi les ressources didactiques proposées sur le site figurent une présentation infographique sur la sécurité routière en vue de la rentrée des classes, un questionnaire sur la sécurité routière, le premier épisode de StreetPeace, le balado officiel de la trêve routière, une vidéo didactique illustrant à quel point nos rues ont changé, des conseils sur la sécurité routière en vue de la rentrée des classes et des liens vers des documents didactiques créés par diverses autres organisations déterminées elles aussi à renforcer la sécurité routière.
« En tant que fournisseur d’assurances automobile, la RSA a un intérêt véritable dans la sécurité routière, quels qu’en soient les aspects, affirme Donna Ince, vice-présidente principale, Assurance des particuliers de la RSA du Canada. En incitant les Canadiens à veiller les uns sur les autres, à faire plus attention à ce qui se passe autour d’eux et à se familiariser avec le code de la route, nous espérons constater une baisse du nombre d’accidents mortels et une plus grande tolérance sur les routes du Canada. »
À Toronto, la situation due à l’ignorance des règles et le manque de tolérance des usagers de la route est telle qu’il faut trouver une solution pour renforcer sans tarder la sécurité routière. D’autres plans de renforcement de la sécurité routière et de réaménagement de l’infrastructure routière sont projetés dans le cadre de Vision Zero, l’ambitieux projet de la ville de Toronto. La trêve routière quant à elle repose sur la sensibilisation des piétons, des cyclistes et des automobilistes et la tolérance les uns envers les autres pour restaurer l’harmonie sur les routes.
« À long terme, le réaménagement de l’infrastructure permettra sans nul doute de réduire le nombre d’accidents et de décès. Pour sa part, la trêve routière a pour objectif à court terme de calmer le débat opposant sans cesse les usagers des rues de la ville, souligne Mme Ince. C’est pourquoi nous mettons l’accent sur la sensibilisation aux réalités de la route en vue de la rentrée des classes de nos enfants cet automne. Nous voulons participer aux efforts visant à s’assurer qu’ils seront en sécurité en route vers l’école et sur le chemin du retour chez eux. »
Pour en savoir davantage sur la trêve routière, pour tester vos connaissances sur la sécurité routière et pour prendre l’engagement de mieux partager la route, visitez le site www.truceto.com/fr. La trêve routière s’inscrit dans l’ambition de la RSA de faire un monde meilleur, ensemble et cadre avec son pilier Un monde sécuritaire, partie intégrante de sa responsabilité sociale d’entreprise, qui est axé sur la protection des clients contre les risques quotidiens. Pour en savoir plus à propos de la responsabilité sociale d’entreprise de la RSA du Canada, visitez https://www.rsagroup.ca/fr/notre-societe/responsabilite-dentreprise/notre-parcours-de-responsabilite-social-dentreprise.
À propos de la RSA :
Forte d’un héritage de 300 ans, la RSA est un groupe multinational de sociétés d’assurances cotées en bourse. La RSA se spécialise dans l’assurance générale. Ses principaux marchés sont le Royaume-Uni et l’Irlande, la Scandinavie et le Canada. Elle est également en mesure d’offrir des produits d’assurance aux entreprises aux quatre coins du monde. Les principales entreprises de la RSA regroupent environ 13 500 employés et représentaient 6,3 milliards de livres sterling de primes émises en 2016.
À propos de la RSA du Canada :
Faisant partie de RSA Insurance Group plc, le groupe de sociétés de la RSA du Canada se compose des sociétés suivantes : Roins Financial Services Limited; Royal & Sun Alliance du Canada, société d’assurances; Compagnie d’Assurance du Québec; Johnson Inc.; Unifund, Compagnie d’assurance, Western Assurance Company; Ascentus Insurance Ltd.; Canadian Northern Shield Insurance Company et RSA Travel Insurance Inc./Assurance voyage RSA Inc. (collectivement la « RSA du Canada »). La RSA du Canada emploie plus de 2 800 personnes au Canada et est l’une des plus anciennes sociétés d’assurances au pays, sa fondation remontant à 1833.
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[2] Selon un sondage réalisé auprès de 1 560 Canadiens entre le 15 et le 22 décembre 2017 par Maru/Matchbox, avec une marge d’erreur de plus ou moins 2,6 % 19 fois sur 20.